VOT Bonnières - 10 avril 2016
Publié : 11 Avr 2016, 11:10
Une des pires manches que j'ai pu faire avec Noisy il y a deux ans!
J'étais arrivé à 7H30, 0°C et beaucoup de brouillard qui s'est lévé que vers 10H.
Après un long échauffement d'une heure, départ en cote comme maintenant toutes les manches du VOT.
Le parcours ne comporte aucune zone goudronné . Il est différent à 50% de l'an dernier, en particulier en bas de la descente raide qui se termine par des marches , on tourne à gauche pour prendre un enchainement de single très pentus et sélectifs et non à droite (trop de boue apparement) où on prenait la longue cote caillouteuse que j'aime bien.
Gérard le Toulouse nous rappelle d'être quand meme prudent car le parcours est devenu un peu rock n' roll à cause de la pluie de la veille et du froid qui maintient l'humidité. Je vais bientot comprendre que c'était pas de paroles en l'air.
Si le temps avait été sec dès le début, alors oui cela vallat la peine de venir: c'est quasiment le parcours du championnat de France UFOLEP 2017.
Mais avec l'humidité c'était hyperglissant à cause du terrain glaisseux plus que boueux , principalement le premier tour vraiment épuisant et dangereux: deux chutes dont un OTB sans gravité.
J'ai perdu beaucoup trop de temps au début ensuite le beau temps arrivant on avait suffisament d'adérence pour monter mais c'était trop tard
26/27 mais pas mal d'abandon. Une manche à oublier.
Je suis impressionné par les temps des premiers cette année, certes Bruno Le Bras a des references (pourtant il est que deuxième!) mais il faut aussi prendre beaucoup de risque même si on a les jambes.
J'étais arrivé à 7H30, 0°C et beaucoup de brouillard qui s'est lévé que vers 10H.
Après un long échauffement d'une heure, départ en cote comme maintenant toutes les manches du VOT.
Le parcours ne comporte aucune zone goudronné . Il est différent à 50% de l'an dernier, en particulier en bas de la descente raide qui se termine par des marches , on tourne à gauche pour prendre un enchainement de single très pentus et sélectifs et non à droite (trop de boue apparement) où on prenait la longue cote caillouteuse que j'aime bien.
Gérard le Toulouse nous rappelle d'être quand meme prudent car le parcours est devenu un peu rock n' roll à cause de la pluie de la veille et du froid qui maintient l'humidité. Je vais bientot comprendre que c'était pas de paroles en l'air.
Si le temps avait été sec dès le début, alors oui cela vallat la peine de venir: c'est quasiment le parcours du championnat de France UFOLEP 2017.
Mais avec l'humidité c'était hyperglissant à cause du terrain glaisseux plus que boueux , principalement le premier tour vraiment épuisant et dangereux: deux chutes dont un OTB sans gravité.
J'ai perdu beaucoup trop de temps au début ensuite le beau temps arrivant on avait suffisament d'adérence pour monter mais c'était trop tard
26/27 mais pas mal d'abandon. Une manche à oublier.
Je suis impressionné par les temps des premiers cette année, certes Bruno Le Bras a des references (pourtant il est que deuxième!) mais il faut aussi prendre beaucoup de risque même si on a les jambes.